CAROLINE DUCHATELET
lundi 8 décembre, 2008/2010 - Caroline Duchatelet
photogramme #4, tirage numérique, encre pigmentaire, 40 x 70 cm
A Monbazillac, une artiste à « l’écoute » du paysage et de la lumière.
Caroline Duchatelet est la troisième artiste invitée par le Château de Monbazillac et l’association Les Rives de l’Art dans le cadre des « Résidences de l’Art en Dordogne ». Ce temps de recherche et de création qui lui est offert se déroulera d’octobre à décembre 2012 autour de "L’œuvre in-situ".
Le 21 octobre 2012, l’artiste invite le public à découvrir sa démarche et des extraits d’œuvres réalisées avant de débuter son séjour en Dordogne.
Au printemps 2013, elle présentera ses projets et œuvres nés en résidence de création à Monbazillac.
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Caroline Duchatelet
www.documentsdartistes.org/artistes/duchatelet/page1.html
« Il a toujours été question de paysages et de lumières. Je parcours, je vis dans des paysages traversés de lumières ». Depuis ses premières créations, le travail de Caroline Duchatelet s’inscrit dans cette double recherche. La première étape de cette quête est passée par la sculpture, patientes et fragiles concrétions issues d'un élément constitutif du paysage. Par la suite, les créations se font de plus en plus discrètes, elles entrent en symbiose avec le paysage et l’architecture dans lesquelles elles s’insèrent. Puis, poursuivant ce qu’elle nomme une « dématérialisation » de son travail, Caroline Duchatelet s'est mise à l’écoute de la lumière elle-même, rendant perceptibles les transformations qu'opèrent son passage, ses variations, ses apparitions/disparitions, en plaçant dans l'espace des supports préparés ou encore, jouant de ses résonances avec des compositions lumineuses. L’artiste a continué en explorant la vidéo et durant ces trois dernières années, elle a filmé des paysages se transformant sous la lumière, avec notamment une série consacrée aux aubes. Il n’est donc pas étonnant que de nombreuses résidences émaillent son parcours. Sa recherche nécessite une immersion dans le paysage, indispensable pour une imprégnation de ce qui le constitue, le transforme et le fait vivre, à travers le prisme infini et changeant de la présence/absence de la lumière.
Tarifs :
entrée libre