Le réel dispose de son invention
Occupant tous les espaces du centre d’art, quatre nouvelles expositions prolongent l’invitation à découvrir au fil de la saison des démarches artistiques travaillées par la fragilité de nos représentations.
D’abord celle de Mathieu Bonardet déposant à la mine graphite – seule matière utilisée – les traces de gestes déployés et méticuleux, aussi énergiques et performatifs que fragiles et sensibles. (Back and forth, Petite galerie du 2 février au 17 mars 2019).
Dans la Galerie haute, Xavier Antin, Léa Belooussovitch, Bernard Calet, Julien Discrit, Vincent Lamouroux, Jérémie Lenoir, Benoit Platéus, Evariste Richer, Till Roeskens et Javiera Tejerina-Risso mettent à l’épreuve diverses formes d’approches du réel. (Le réel dispose de son invention, du 2 février au 31 mars 2019)
Sous la Verrière, avec Tatiana Wolska, un principe d’incertitude prend corps et se fait nuage, forme plastique aérienne, monumentale et colorée. (Principe d’incertitude, du 2 février au 31 mars).
Dans le hall d’entrée de l’étage, jusqu’en septembre, le nuage se fait grande utopie aérienne et éthérée selon un protocole imaginé par l’artiste Yona Friedman. Chaque visiteur pourra participer à l’activation et au déploiement de cette oeuvre collective.
Tarifs :
Entrée libre