MICHELE DI LEO

Le jardin des fleurs du délire

Premier acte: Marseille. Deuxième acte: Como. Troisième acte: Chicago.

Le jardin des fleurs du délire, une condition incroyable d'esprit déformé qui considère les armes comme si elles étaient des fleurs aimés par la mort.

Fleurs: élégance, couleurs, beauté, parfums, finesse.

Armes: brutalité, horreur, destruction, mort.

Les fleurs: cadeau de la nature. Les armes: résultat du délire démoniaque.

L'utilisation de la science et de la technologie avancées est atroce quand les études sont directs à la création de "bidules" frappants avec un potentiel destructeur élevé. Destruction massive? Serait-il possible que l'humanité veuille détruire la vie dans laquelle elle même est incluse? La mort peut-elle battre la vie à travers l'homme? NON!

L'exposition envisage des armes sous une forme redondante et exaspérante ainsi que le mal a toujours joué son rôle. L'art est le langage qui, dans toutes ses valences et secteurs, améliore les valeurs de l'humanité grandiose en continuant à rêver de paix. Heureusement, il existe: son devenir continu est la civilisation qui s'oppose à tous les aspects de la barbarie.

Michele Di Leo